L’édito de la semaine

Dimanche 12 février, journée du Sacrement des malades !

L'équipe de la Pastorale de la Santé voudrait attirer l'attention, bien sûr sur nos malades, pour lesquels nous prions. Mais aussi sur tous ceux qui prennent soin d'eux : médecins, chercheurs, tous les soignants. Les années récentes nous ont fait toucher du doigt leur épuisement, leur engagement sans faille. Ils méritent bien eux aussi, d'être honorés!

Mais c'est à nous de prendre part aux joies et aux peines des fragiles, de les accompagner, en nous efforçant de leur apporter un peu de joie, de confiance, d'espérance.

Dans "Amoris Laetitia", notre pape François rappelle que "souvent la mission de l’Église ressemble à un hôpital de campagne". Sachons aller vers les personnes qui souffrent. Qu'elles se sentent partie intégrante de notre communauté où il y a une place pour chacun.

Visiter les malades répond à l'invitation de Jésus: "J'étais malade et vous m'avez visité". 

Ce ministère de la consolation n'est-il pas un devoir pour tout baptisé.

Le Sacrement des malades - par l'imposition des mains et l'onction de l'huile - manifeste:
- l'amour du Père
- la joie de reconnaître enfant de Dieu
- et l'espérance de parvenir au Royaume, où le Christ nous précède.

Merci à vous malades et soignants, de nous rappeler que la fragilité, la vieillesse, la maladie font pleinement partie de nos existences humaines, et qu'on ne peut pas les vivre seuls.

Marie-Josèphe Rosset, responsable de l'équipe pour les malades et aînés